Pour la première fois, des discussions voient le jour entre Uber le célèbre service de VTC et les représentants des chauffeurs avec comme but premier l’examen des revendications des tarifs des chauffeurs.
Limiter la paupérisation
Pour le moment, la plate-forme de VTC ne voulait pas parler de ses tarifs, sujet primordial pour les chauffeurs qui revendiquaient pour de meilleures conditions de travail. Ils souhaitent qu’Uber cesse de tirer les prix vers le bas pour qu’ils puissent être mieux payé pour chaque course effectuée. On parle d’Uberisation pour l’amélioration des services, mais on oublie trop souvent la « paupérisation » des chauffeurs qui ne sont même pas employés.
En face de la société, les organisations ne sont pas organisées et ne sont pas allier pour contrecarrer le poids d’Uber.
Changement législatif
Suite aux débordements et à une certaine exploitation des chauffeurs qui sont indépendants, mais qui n’en n’ont pas les avantages, un texte de loi voté fin 2016 permettra aux conducteurs d’avoir la possibilité d’adhérer à plusieurs plate-formes de VTC sans que les actuelles clauses d’exclusivité soient encore d’actualité.